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Clément CHARUEL

Pourquoi la ptsi ?

J’ai naturellement choisi de faire une classe préparatoire PTSI/PT car je venais d’une terminale Sciences de l’Ingénieur, et c’est la matière qui me plaisait le plus – bien que j’appréciais les maths et la physique. De plus, il est reconnu que c’est cette prépa qui a le meilleur ratio nombre de places disponibles/nombre de candidats pour entrer dans les écoles d’ingénieur.

 

L'intérêt des colles pour vous ?

Bien que les premières colles puissent être stressantes, je trouvais par la suite que c’était une bonne chose. En effet, ça permet d’avoir un retour très personnalisé sur son niveau, puisque nous ne sommes que trois face à un professeur. De plus, les colleurs ne sont pas toujours nos professeurs de classe, donc nous pouvons bénéficier d’un point de vue nouveau.

 

 

Le choix de joliot curie ?

J’ai fait tout mon lycée à Joliot-Curie, c’est pourquoi j’ai choisi de continuer ma prépa au même endroit.

 

Votre ressenti de l'internat, du cadre de vie :

J’étais habitué à l’internat de Joliot-Curie, puisque j’y ai passé tout mon lycée. Le principal avantage est bien évidemment la proximité avec les salles de classe. #ChaussonsEnBatimentG. De plus en PTSI/PT quasiment toute la classe loge à l’internat. Ceci est un avantage pour se faire aider ou pour les travaux de groupe, mais ça peut vite être distrayant !

 

A quel moment avez-vous choisi cette école d'ingénieur, comment avez-vous choisi?

En entrant en classe préparatoire, je n’avais aucune idée des écoles où j’allais postuler. Je m’y suis penché en 2e année, au moment de s’inscrire aux concours. J’ai choisi mon école sur deux critères principaux : son « niveau » ; et surtout sur le contenu des cours. Jusqu’au dernier jour j’ai hésité entre Centrale Lille et les Arts et Métiers. Souhaitant travailler dans la conception/fabrication, mon choix final s’est porté  sur les Arts et Métiers.

 

Votre activité actuelle?

Je suis actuellement en 2e année aux Arts et Métiers sur le centre de Paris, et j’espère intégrer le département « Aerospace » d’une université américaine l’année prochaine.

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